Si l'homme une fois mort pouvait revivre, J'aurais de l'espoir tout le temps de mes souffrances, Jusqu'à ce que mon état vînt à changer.
La montagne s'écroule et périt, Le rocher disparaît de sa place,
Tu es sans cesse à l'assaillir, et il s'en va; Tu le défigures, puis tu le renvoies.
Les générations à venir seront étonnées de sa ruine, Et la génération présente sera saisie d'effroi.