Je les méprise!… je ne vivrai pas toujours… Laisse-moi, car ma vie n'est qu'un souffle.
(38:7) Je suis courbé, abattu au dernier point; Tout le jour je marche dans la tristesse.
(38:8) Car un mal brûlant dévore mes entrailles, Et il n'y a rien de sain dans ma chair.
Mon esprit est abattu au dedans de moi, Mon coeur est troublé dans mon sein.
(12:10) Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, tout est vanité.
Car la création a été soumise à la vanité, -non de son gré, mais à cause de celui qui l'y a soumise, (8:21) avec l'espérance
parce que nous regardons, non point aux choses visibles, mais à celles qui sont invisibles; car les choses visibles sont passagères, et les invisibles sont éternelles.
Que revient-il, en effet, à l'homme de tout son travail et de la préoccupation de son coeur, objet de ses fatigues sous le soleil?
Quel avantage celui qui travaille retire-t-il de sa peine?